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Sébastien Le Guen 

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À PROPOS DE SEBASTIEN LE GUEN
par Anaïd Demir, critique et écrivaine
(texte paru dans Technikart magazine, 2001)

Parler du travail de Sébastien Le Guen n'est pas une mince affaire. C'est une oeuvre protéiforme qui associe peinture mais qui puise autant dans le collage que dans l'illustration,un mélange improbable entre dripping et bad painting.
La peinture de Sébastien Le Guen semble chaotique au premier abord.
Sa peinture nécessite un effort de la part du regardeur. Sans seconde lecture, l'oeuvre reste hermétique, c'est sur le principe de la photo que son travail apparait: dans toutes les oeuvres de Sébastien Le Guen, le focus est obligatoire. C'est dans le détail que la puissance de son travail envahit le spectateur: collage, accumulation, peinture, dessin, texte, typo, photo,médicaments, pansement...C'est l'ensemble de ces infimes détails, qui réunis, donne à son oeuvre, sa force: c'est un processus de stratification qui ordonne la réalisation de ces toiles. Sur la première couche se trouve ce qui constitue a la fois la charpente et la colonne vertébrale du travail à venir. C'est alors que les images apparaissent progressivement,les fragments de texte,les logotypes, et ce, jusqu'à saturation. On comprend enfin à ce stade que si la peinture de Sébastien Le Guen est "bordélique", ce n'est pas le fruit du hasard, ni d'un accident mais la volonté même de l'artiste.
Pansée, gazée, médicamentée, sa peinture enfin se découvre.Douleur mais aussi guérison, l'oeuvre de Sébastien Le Guen ne rassure pas mais en tout cas, elle fascine.

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À propos de la série "Chutes" par MARC BELLINI

D'aucuns 
font face à la toile, Sébastien Le Guen fait avant tout face au châssis et choisit son support pour peindre. La toile de Jouy vient ici jouer du contraste avec le travail ciselé au "basic pochoir" sur fond bleu. L'artiste rehausse la composition d'une surface blanche et clinique, capable de faire apparaitre des masques, protections sanitaires révélatrices d'un monde contemporain contaminé, privé d'expression.



SEBASTIEN LE GUEN PSYCHO-PAINTER par Anaïd Demir

"Et si on réglait ses comptes avec l’histoire de l’art et, les femmes, et la mode d’un seul geste mais en couleurs ? De petites et de grandes coupures, des déchirures et de belles coulures, et pas mal de "destructure" dans ce monde de chaos… Héritier des Nouveaux Réalistes, de Raymond Hains et de Jacques Villegé mais aussi en connexion avec Martin Kippenberger ou Jackson Pollock, Sébastien Le Guen s’en prend aux affiches et aux beautés chaudes ou glacées qui les peuplent. Comme un psycho-painter, il les isole et à l’ombre de son atelier, shooté à la térébenthine, et de la pointe de ses pinceaux, de ses ciseaux, cutters et autres outils chirurgicaux, il les abandonne à un sort artistique haut en couleurs."

Exposition "Paysages Humains"
Par PHILIPPE PERRIN

Sébastien Le Guen est un peintre, un vrai.
Il déchire ses affiches, lacère les images de "ses poupées glacées" comme un enfant casse ses jouets.Il les débarbouille des fards vulgaires de la mode ambiante, des salissures du regard des passants, les maquille à sa manière...
Tel le Docteur Frankenstein, il recompose le visage de ses poupées, avec plus ou moins de succès pour elles.
Il leur rend une âme qu'elles n'ont jamais eue...
Il n'est pas un peintre improvisé à la poursuite des pseudos courants artistiques du moment.
Sa pratique est sincère.
Il est le digne héritier de Villéglé et feu Raymond Hains ou Mimmo Rotella, Il déchire. Ça déchire...


•Communiqué de presses / texte de Déborah Boltz
"L'artiste doit toujours avoir un oeil fixé sur la réalité, et l'autre fermé sur le monde intérieur." (Max Ernst)
Sébastien Le Guen est un peintre français vivant à Paris. Né en 1971, il s'est révélé à la Villa Arson dans les années 90.Depuis son travail s'est retrouvé au sein de plusieurs expositions personnelles et collectives en France comme à l'étranger :Genève (MAMCO),Belgique, États Unis.Son exposition "Le Monde pansé" lui a valu, de recevoir, en 2004, le prix de la Villa Médicis hors les murs.
Proche du Bad Painting et à la croisée de plusieurs influences notamment celle de Martin Kippenberger (dont il fut l'assistant), la pratique pictural de Sébastien Le Guen emprunte aussi à la culture pop, punk et trash des années 80/90 qu'au surréalisme et à l'esprit DADA.
Peintre avant tout, son travail se constitue aussi de pioches dans le répertoire des images liées à la publicité, à la communication et à l'univers de la mode. Dans son oeuvre, l'artiste interroge des thématiques qui ont souvent trait à la construction identitaire (notamment la mode au sens large comme reflet de notre identité) et utilise dans ces toiles des procédés visuels qui jouent autant sur notre perceptions des images que nos facultés imaginatives. Il déchire , arrache, découpe, décompose des images extraites de l'iconographie populaire des médias de masse qu'il redistribue finement sur la toile et le papier en croisant différents médiums emprunter du street painting (lettrisme, bombe aérosols, peintures fluorescentes, encres , basic pochoir et collages) offrant ainsi aux spectateurs passé au prisme de sa propre sensibilité dixit l'artiste .*
 

Sous le titre "Paysages humains", Sébastien Le Guen présente une nouvelle phase de sa recherche plastique et graphique s'articulant autour du corps humain et sa relation à l'extériorité.
Visages nés de la métamorphose et de l'hybridation, formes associées, imbriquées, les portraits de Sébastien Le Guen restent ouverts aux interrogations. On ne sait trop si la figure se construit ou se déconstruit pour à nouveau se reconstruire. De la multiplicité des médiums (fragments brut d'affiches, images de magazines,stickers etc...) mixés aux parties peintes de la toile,naissent de nouvelles identités, étrangement fascinantes, qui se veulent révélatrices de notre perception conscientes ou inconscientes du monde qui nous entoure.

 

En parallèle de ces "chimères modernes", à la manière d'une camera qui dézomme, l'artiste convoque pochoirs et collages pour décliner une myriades de silhouettes féminines, aux galbes et attitudes multiples, qui se croisent et se bousculent , se dédoublent et s'entrelacent. Moins importe le modèle , son visage que sa pose et le "paysage" qui le traverse. Au pochoir , des corps rehaussés de couleurs vives se découpent sur le fond de la toile , autant de fragments chirurgicaux ou les coulures de peintures se font veines, ou la toile rester brut se fait peau.Par le collage , d'autres corps non identifiés occupent les silhouettes de papier. La technique est précise et systématique. Chaque collage est réalisés à partir de magazines dont l'artiste sélectionne minutieusement les pages cherchant des poses du corps féminin mis en rapport avec un document, au verso duquel se trouve un autre "corps" isolée , découpée au scalpel, retournée puis collée , la silhouette devient un paysage intérieur.
À l'endroit comme à l'envers , dans ces corps urbains , de nature, d'architecture, d'objets indéterminés ou de peintures , dans ces silhouettes démultipliées sur la toile a la manière des cellules du corps humain , il se produit quelque chose qui n'est alors plus seulement du visible mais du sensible .

Avec "Paysages humains", l'artiste au regard d'anatomiste, propose a la galerie Addict un voyage projectif , entre rêverie et poésie, un corps à corps de couleurs et de formes, donnant au mot "curiosité" sa portée maximale.
 

Texte écrit par Déborah Boltz 
 

 

 

 

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POINTS DE VUE

SEBASTIEN LE GUEN OU L'INTUITION CREATRICE
par Déborah Boltz

S. Le Guen, peintre en technique mixte, travaille la toile et le papier en croisant lettrisme, dessin, peinture, bombe, pochoir et collage. Il stigmatise ces supports aux moyens de fragments d’affiches, d’objets, d’illustrations et d’éléments hétéroclites, symboles de la culture populaire mondiale. Proche du Bad Painting, sa peinture emprunte aussi bien à la culture trash qu’au surréalisme, et à l’esprit Dada. On peut lire dans son travail, une préférence marquée pour l’œuvre de G. Mahé, de D. Kolk, et M. Kippenberger. Que voit-on dans son œuvre ? Un labyrinthe de surfaces archi-saturées dans lesquelles se noient un luxe de détails apparemment disparates : pansements, plans d’hôpitaux, planches d’anatomies, lettres et codes barres, lunettes et billets de banques, une infinité de symboles, des extraits de journaux…; il y a Donald Duck en colère poings serrés sur une grosse toile ; tout proche, Spiderman tisse sa toile un peu partout comme une signature; des drapeaux américains dégoulinent sur des paquets de cigarettes ; des posologies des médicaments les plus sévères servent de stèle funéraire à un homme qui creuse sa tombe. Ça et là dansent des silhouettes féminines difformes ; des visages sublimes, déconstruits, inquiétants s’exposent face à un clown en camisole qui tente vainement de sortir de la toile. Chez Le Guen, la convocation au hasard n’est pas moindre, de même l’idée de « ratage » et « d’accident » fait partie inhérente de son œuvre. Une œuvre multiple donc, traversée par des thématiques récurrentes sans cesse revisitées : l’enfance, le corps, l’androgynie et le féminin, l’hôpital et la marginalité, le paradoxe et l’idée reçue, les masses médias et la pop culture. 
Une peinture intuitive, sensible qui, par son apparente dissemblance, stimule à l’extrême la vision de celui qui sait regarder. Il y a d’un ensemble à l’autre, d’une œuvre à une autre, des toiles pleines de superpositions d’éléments aux affiches arrachées bombées et marouflées de très grands formats, le même écart que chacun d’entre nous peut éprouver, entre un état de l’être et un autre : chacune de ces oeuvres sont autant de moments de vie, de souvenirs, de « choses vues » lues, écrites, entendues.

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Sébastien le Guen est un peintre contemporain français né en 1971 à Paris. Il s’est exercé en tant qu’artiste à la Villa Arson (Nice), et a obtenu son diplôme en 1996. Au cours de sa formation, il fait la connaissance de nombreux artistes dont il devient l’assistant (Ben Vautier, Jacques Villegle, Paul McCarthy, Philippe Ramette, Martin Kippenberger…).

Sa première exposition personnelle Potlatch est organisée à la Galerie Pierre Bernard de Nice en 1991 ; il y expose ses premières oeuvres influencées par le mouvement lettriste d’Isidore Isou. Entre 1992 et 1993, il est exposé à la Galerie Air de Paris. Été 1993, il part à New York où il assiste, pendant six mois, l’artiste D. Kolk chez qui il vit et travaille : il y développe un style pictural très personnel caractérisé par le collage, l’illustration et les emprunts au street painting. De 1996 à 2002, il expose régulièrement en France et à l’étranger (Genève, Bruxelles, Chicago) et participe a plusieurs expositions collectives. 2003, c’est l’invasion de l’Irak. Le Guen réalise une exposition conceptuelle à la Galerie Incognito de Paris, sur le thème de la dépression – Le Monde pansé – qui s’inspire de l’actualité géopolitique. En 2004, il obtient le « Prix de la Villa Médicis Hors les murs » avec l’AFAA, et l’année suivante installe son atelier à Brooklyn, et présente ses œuvres à l’exposition collective « Jokes » au MAMCO (Genève) sous la direction de Christian Bernard. Entre 2004 et 2009, Le Guen partage sa vie entre New York et Paris. Durant ses années, il complète sa formation de peintre, développe sa technique en s’inspirant de la culture urbaine et suburbaine, et crée des liens avec des artistes de la vie underground new-yorkaise comme le photographe Terry Richardson. En 2005, il expose à la BW Gallery en Belgique. C’est aussi à cette période qu’il exécute plusieurs séries d’œuvres sur toiles recouvertes de plans d’hôpitaux (en hommage à son père architecte) revisitant, entre autres, l’iconographie populaire des médias de masse (séries « Amazing Apple », « Amazing people », « Catch 22 » & « More Catch 22»). En septembre 2009, il revient à Paris dans son atelier de la rue Guénégaud. il participe en mai 2010 à l’exposition I love America (Studio 55) au côté d’artistes américains et européens. Depuis 2010, Le Guen développe plusieurs séries d’œuvres en technique mixte sur toiles et papiers qui s’inspirent entre autres de comics (série « Sponge Bob »), de la publicité ou de l’univers de la mode (« Ray Ban », « Zombie », « Escape »), et poursuit un travail, commencé à New York, sur les affiches publicitaires très grand format du métro parisien (série « Rip off »). 
Depuis 1991, les oeuvres de S. Le Guen ont été présentées dans une trentaine d’expositions personnelles et collectives en France et à l’étranger (Allemagne, Chicago, Bruxelles). Deux de ses peintures ont été acquises par le Musée d’art moderne et contemporain de Genève (MAMCO). Ses œuvres sont également entrées dans une trentaine de collections privées.

texte : Déborah Boltz

 

 

 

PARCOURS / texte : Anne Berthod

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Sébastien Le Guen a longtemps cherché un cursus adapté. Du Lycée expérimental de Sèvres à l’Ecole nationale supérieure d’architecture, intégrée pour faire comme son père et aussitôt quittée _ il peignait dans les ateliers d’archi. Son passage à l’Ecole des Beaux-Arts, à Cergy-Pontoise, n’a guère été plus long. Il s’est enfin trouvé à la Villa Arçon (Nice), où il s’est frotté, en cinq années de formation, à de nombreux artistes (Paul McCarthy, Felice Varini…). Diplômé en 1996, il a depuis approfondi sa quête entre Paris et New York, s’ abreuvant à leurs cultures urbaines.

 

Lettrisme et collage… Ses premiers travaux exposés, en 1991, l’inscrivent dans la lignée du mouvement lettriste d’Isidore Isou. Il reproduit alors des carnets de bar, avec feuille jaunie, collages de publicités de marque (Picon…) et, en guise de commande, quelques mots tracés d’une écriture pressée : souvent un poème en forme de cadavre exquis, dans l’esprit Dada, improvisé sur le coin d’une table avec son complice Matthieu Mahé. Le père de celui-ci, Gilles Mahé, fait partie des influences majeures de Sébastien Le Guen.

 

Bad Painting… C’est à New York, dans l‘atelier de Douglas Kolk, en 1992, que commence sa longue histoire d’amour avec les Etats-Unis. Les artistes américains, dont l’approche est plus visuelle que conceptuelle, l’inspirent. La culture de la rue, aussi. Dans ses lettrismes et ses collages, s’invitent la bombe aérosole, le pochoir, la peinture fluorescente, l’encre et les affiches publicitaires grand format du métro : autant d’emprunts au Bad painting qu’incarna notamment Jean-Michel Basquiat. Habitées par un esprit punk, ses toiles sont peuplées de personnages aux yeux en étoile qui se mettent littéralement la tête à l’envers. 

 

Les maux du monde… Un autoportrait vidéo le travestissant en dadaïste barbu, la peinture d’un homme qui creuse sa tombe, avec en toile de fonds des posologies médicamenteuses lourdes… réalisée sur le thème de la dépression, l’exposition “Le monde pansé” s’inspire de l’invasion irakienne. Elle lui vaut, en 2004, le Prix de la Villa Médicis hors les murs. Le monde médical et hospitalier, la mort et l’addiction sont des thématiques récurrentes chez Sébastien Le Guen. Une façon de rendre hommage à son grand-père croquemort, à son père architecte, qui finit ses jours à Sainte-Anne, mais aussi d’exorciser ses propres excès. 

 

Pop Culture… Poursuivant à Paris son travail sur les affiches du métro, découpant les journaux, Sébastien Le Guen traque, à travers la publicité et l’univers de la mode, l’iconographie de la culture de masse. Il s’inspire même un temps des comics américains. Spiderman, Bob l’éponge, Donald Duck, drapeau américain, mais aussi billets de banques, Ray Ban et codes barres, sont autant de symboles de la culture populaire qu’il détourne, entre trash culture et surréalisme. En cela, il se rapproche de feu Martin Kippenberger, “le dernier punk de l’art contemporain”.

 

Paysages humains ou érotisme… En filigrane de ces accumulations colorées de motifs, de techniques et de matières (photos, pansements, paquets de cigarettes…), se dessine souvent un portrait. A ces fragments de visages recomposés, ces silhouettes féminines déclinées dans toutes les positions, il offre une seconde vie. Entre figuration et abstraction, Sébastien Le Guen travaille sur le corps et interroge le désir. Des combinaisons en latex des superhéros aux posters de filles dénudées dans les cabines des camionneurs, il appréhende l’érotisme, au coeur de son oeuvre, dans un contexte social. 

A ces toiles denses et ces paysages multi-texturés, il oppose, depuis peu, une série de toiles sur fonds noir, qui lui permettent de tendre vers l’épure.

 

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PRIX
2004 : Lauréat du prix « Villa Médicis hors les murs » obtenu par l’AFAA (Association Française d’Action Artistique)
* Prix sous forme de bourse, accordé par le ministère des Affaires Etrangères aux artistes
en vue d’effectuer un séjour à l’étranger pour y développer une recherche artistique personnelle

Sébastien Le Guen a été l’assistant de MARTIN KIPPENBERGER. Cet artiste faisait passer l’actualité à travers un filtre, à la chasse de la lecture conventionnelle, pour mieux souligner toute l’absurdité, l’arrogance, la duplicité du monde. Artiste nomade et irrévérencieux, il jouait avec l’image, de manière ironique, absurde, provocante. Bien que son influence en Europe ait été discutée, il reste un des artistes allemands les plus significatifs de sa génération. 

GILLES MAHÉ fut également un des pères spirituels de Sébastien Le Guen. À travers une réflexion sur le statut de l’œuvre d’art, les conditions de sa production et de sa diffusion, il empruntait à d’autres leurs pratiques systématisées. Son œuvre met en relation objets et machines, spectateurs et œuvres qui se construisent et évoluent par son intervention.


 

EXPOSITIONS /

 

EXPOSITIONS PERSONNELLES / 2022, Expo solo 15 rue Guénégaud 75006 Paris .2019,exposition / conférence pour l'UAAF, place St Germain des près , 75006 Paris , 2018, Exposition "ESSENTIEL" Galerie Anthony Roth , 75003 Paris . 2017, Voyage en Chine (PEKIN), Exposition "AQUA" Galerie Incognito art club 75006 PARIS , Exposition Espace Rachi Galerie Claude Kelman Rue Broca 75005 PARIS . 2015, Atelier Visconti , Rue Visconti 75006 PARIS 2015  STRASBOURG, ARISTOI Gallery Exposition "Basic" mai-juin 2015/Miami Art Fair /c Colas Engel fine arts MIAMI. 2015 PARIS, Galerie Olympe de Gouges, Exposition "Pixel", 28 juillet-5 septembre. 2015, PARIS, Atelier Visconti, 22 septembre- 24 octobre. 2014: ROCHEFORT, ARISTOI Gallery - dEux ±, "Urb Humanity Forms" sous la direction artistique de Catherine Fauconnier et Jean-Baptiste Geffroy. 2012 : Expo éphémère chez Nicolas Ullmann, rue Muller,Paris. 2012: PARIS, Galerie ADDICT, "Paysages Humains" 13 octobre - 24 novembre 2012. 2012: PARIS, Galerie Incognito, Exposition "Super Héros shooting star". 2011: PARIS, Galerie MAW, "Sébastien Le Guen PAINTINGS" sous la direction artistique de Michaël Andrew Wilson et Déborah Boltz. PARIS, La Blanchisserie, "DRIP", 7 décembre 2011-14 janvier 2012 sous la direction artistique de Déborah Boltz 2010 : du 3 au 13 Février « Fragments choisis », Galerie Nathalie Gaillard, Paris. 2009 : « Constitution Diary », Lost Galerie, Paris. 2007 : « Catch 22 », BW Gallery, Bruxelles. 2006 : Galerie Chez Valentin, Paris. 2005 : « Versus/ Ubiquitus», BW Gallery, Bruxelles. 2004 : Lauréat du prix « Villa Médicis Hors les murs » obtenu par l’AFAA (Association Française d’Action Artistique). 2003 : « Le Monde Pansé », Galerie Incognito, Saint Germain des prés. 2001 : Obtention de la bourse de la DRAC pour le travail « Le Monde Pansé ». 2000 : « A Brûle pour point… » Heart Galerie, Paris. 1999 : «DIXIT/ FIXIT », Pi Gallery, Chicago, consultant Carlos Dzine Rolon ; « DIXIT/ FIXIT 2 » dans l’atelier Philippe Mayaux. 1998 : « Zebra Ordex », Villa Arson, Nice.

EXPOSITIONS COLLECTIVES.2022: Expo "ROCK EL CASBAH" hommage à Rachid Taha, curator Philippe Perrin, galerie Dauphine, marché Dauphine , St ouen / Expo "couleurs urbaines" à la galerie Agnes Nord, 11 rue Guénégaud 75006 Paris 2013: Galerie Daniel Besseche, Courchevelles ,2011:"Bad Painting", Galerie 208 ChichePortiche, Paris. Avec: Alëxone, Charlélie Couture, Julien Colombier, Tilt, Mist. 2010 : « I love America », Studio 55, Paris. 2004 : « Jokes », MAMCO, Genève, organisé par Christian Bernard ; artiste invité à l’exposition d’Aurèle « LostLostLost », une salle dédiée à Sébastien Le Guen, Galerie du Rire Bleu, Figeac. 2002 : « Noël avec Aurèle », Galerie du C.S.A, Paris. 2001 : « Organique », Galerie « Chez Valentin ».2000 : Exposition "NO BEACH" (photo et dessins) Bordeaux ; insert d’une toile pour l’album de Zend Avesta. 1999 : Projection de poèmes pour les fêtes artistiques « 666 » à l’Enfer, Paris ;  1998 : « À la participation… », Galerie Nice Fine Art, Nice. 1997 : « N.C.D.G.Q.A.D - Nous Cherchons Des Gens Qui Aiment Dessiner » avec Gilles Mahé. 1996 : « Galerie du Placard » exposition organisée par Gilles Mahé, Saint Briac ; « 100% », Villa Arson, Nice. 1995 : « 49, 90 Frs », Gallery Nice Fine Art, Nice ; « Prix Choc N°2 », Musée des Beaux-Arts, Rennes. 1994 : « Prix Choc » organisé par Gilles Mahé et Jacques Villegle Galerie Gilbert Brownstone & Co, Paris. 1993 : création d’une installation pour l’exposition « Grand Prix » organisé par Axel Hubert, Galerie Air de Paris, Nice. 1992 : « Tatou Collection N°1 », Galerie Air de Paris chez Jennifer Flay, Paris. 1991 : «Poltatch », Galerie Pierre Bernard, Nice.

GRAPHISME. Dernière réalisation : « Portrait de Nicolas Ulmann », création originale d’un visuel graphique numérique pour la radio Xtrack (directrice artistique : Nalini Cazaux).

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